C’est un récit triste, mais porteur d’espoir. La trame du roman est constituée par l’histoire d’une veuve qui a été reçue en héritage avec ses enfants par le petit frère de son défunt époux. Cette femme doit se battre pour elle-même, mais surtout pour l’avenir de ses enfants Elle est portée par ce combat, alors qu’elle doit faire face à la haine, la jalousie, et la médisance.
Cette médisance se cache jusque dans la dénomination. Bien qu’elle soit la plus âgée des épouses de son nouveau mari, les membres de la famille l’appellent « Pougpaala » en langue mooré qui veut dire ‘’ nouvelle mariée’’.
Tout au long du récit les personnages sont désignés par des pronoms personnels. Ce procédé d’écriture fait en sorte que ‘’Pougpaala’’ reste le personnage principal au cœur de l’histoire. On remarque, en parcourant le roman, l’utilisation fréquente du pronom indéfini ‘’on’’. Il se lit comme un conte et se caractérise par l’absence de dialogues.
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